Ce fut plus calme…
Publié le 25 Avril 2009
Après avoir subi (le terme est choisi) la densitomètrie osseuse au sein d'une salle d'examen digne d'un hall de gare ! Je m'attendais au même type de désagréments pour la séance du lendemain en scintigraphie osseuse cette fois !
8h45 j'ai rendez-vous pour cette heure-là, mais j'y suis dès 8h25… on m'indique la salle d'attente. Je n'ai attendu que quelques minutes. Me voici dans une mini-pièce avec une chaise et pas plus de place… où je dois retirer ma veste et mes chaussures devant le manipulateur de l'appareil de scintigraphie. Ouf, j'en reste là pour le strip-tease !
Je dois m'allonger sur une grande table (encore) mais cette fois la pièce est très grande - la machine est imposante - au centre de la pièce se trouve un bocal où les médecins réglent les ordinateurs et appareils, de l'autre côté un homme allongé sur une table…
Bizarre, je peut garder mes vêtements. Etrangement, je suis calme et discute tranquillement de-ci de-ça (on prend le thé ?). Je pose des questions, j'aime bien comprendre… et ils sont fort sympas et me répondent patiemment. Je suis sacrément détendue.
On m'attache les pieds avec une bande pour qu'ils restent fixes pendant le premier examen (très rapide), mais il ne faut pas bouger d'un pouce. C'est un peu long, 15 minutes immobile ! On me fait une injection (dite radioactive pour mieux voir à la radio les endroits fracturés).
Je peux repartir… prochain rendez-vous à 10h45. Il me faut boire 2 litres d'eau d'ici là !
Je sors, il est 8h55 (je suis passée plus tôt).
10h30 je suis de retour. J'attend un peu, on m'appelle… Cette fois, le médecin devant moi me demande d'oter le pantalon (la boucle est en métal)… on va me radiographier des pieds à la tête cette fois.
Allez zou, on s'allonge… on m'attache les pieds… cette fois les poings serrés, pas question de bouger… 15 minutes en extension, muscles contractés. Ne penser à rien.
L'appareil vibre un peu, le grand bras passe sur le corps puis sur la tête (là, je ferme les yeux… il est à quelques cm de moi, c'est oppressant, je dois penser à autre chose) au bout d'un temps qui m'a semblé interminable, je ressent qu'il n'est plus au dessus… il va redescendre jusqu'à mes pieds doucement. Sur l'écran plus loin, je vois mon squelette se préciser avec des points plus clairs… le liquide injecté s'est fixé sur les os.
Enfin, le test s'arrête.
Eh non, on fait tourner la table et on me demande de m'asseoir sur le rebord (la table est arrivée à hauteur du buste du médecin, oups c'est haut). Je suis engourdie, la tête me fait un peu mal, les cervicales surtout. Je me glisse en essayant de ne pas trop remonter ma tunique (qui est longue heureusement). Je pose les pieds en contrebas. Assise. Ne plus bouger, le test reprend.
Enfin au bout de quelques minutes, c'est fini ! Je dois redescendre (purée, c'est haut). Et là, je dois me laisser tomber (argh, ça fait mal). Vite, vite (même un escargot m'aurait doublé) me rhabiller !
Je ressors, on me donne des radios.
Je dois attendre le médecin pour les explications.
Je ne me souviens que du fait qu'elle (cette fois c'est une femme) me dit que :
- "C'est bien fracturé" (ah bah après un mois de convalescence, des radios… je m'en serais doutée, surtout que je dérouillais depuis la radio de la veille).
- "Il vous faut du repos" (argh, elle va pas me dire que je ne peut pas aller bosser… ah non).
- "Vous devriez mettre des semelles épaisses, des chaussures de sport à grosses semelles…" (pouah, ces horreurs à étages !)
Bon je ressort enfin… prochain examen en début de semaine prochaine. C'est marrant, à part une petite sensation de migraine… ça va ! Il est déjà 11h45.
L'aprem… je me sent pas trop bien d'un coup (je n'avais pas trop faim, j'ai peu mangé salade de carottes/alfafa), la tête me fait toujours un peu mal, l'estomac barbouillé… les crampes d'estomac et un petit malaise dû à la fatigue (2 examens radios en 2 jours). Ce samedi, je n'étais pas trop en forme, petit malaise cet aprem. Les effets de l'injection se dissipent peu à peu… (le médecin me disait qu'on était radioactif durant 24h).
Voici donc comment se passe une scintigraphie. A la limite, c'était plus long que la densitométrie de la veille et plus lourd aussi mais j'ai préféré l'ambiance détendue et l'humanité des médecins très cordiaux.
Alfafa
Je dois m'allonger sur une grande table (encore) mais cette fois la pièce est très grande - la machine est imposante - au centre de la pièce se trouve un bocal où les médecins réglent les ordinateurs et appareils, de l'autre côté un homme allongé sur une table…
Bizarre, je peut garder mes vêtements. Etrangement, je suis calme et discute tranquillement de-ci de-ça (on prend le thé ?). Je pose des questions, j'aime bien comprendre… et ils sont fort sympas et me répondent patiemment. Je suis sacrément détendue.
On m'attache les pieds avec une bande pour qu'ils restent fixes pendant le premier examen (très rapide), mais il ne faut pas bouger d'un pouce. C'est un peu long, 15 minutes immobile ! On me fait une injection (dite radioactive pour mieux voir à la radio les endroits fracturés).
Je peux repartir… prochain rendez-vous à 10h45. Il me faut boire 2 litres d'eau d'ici là !
Je sors, il est 8h55 (je suis passée plus tôt).
10h30 je suis de retour. J'attend un peu, on m'appelle… Cette fois, le médecin devant moi me demande d'oter le pantalon (la boucle est en métal)… on va me radiographier des pieds à la tête cette fois.
Allez zou, on s'allonge… on m'attache les pieds… cette fois les poings serrés, pas question de bouger… 15 minutes en extension, muscles contractés. Ne penser à rien.
L'appareil vibre un peu, le grand bras passe sur le corps puis sur la tête (là, je ferme les yeux… il est à quelques cm de moi, c'est oppressant, je dois penser à autre chose) au bout d'un temps qui m'a semblé interminable, je ressent qu'il n'est plus au dessus… il va redescendre jusqu'à mes pieds doucement. Sur l'écran plus loin, je vois mon squelette se préciser avec des points plus clairs… le liquide injecté s'est fixé sur les os.
Enfin, le test s'arrête.
Eh non, on fait tourner la table et on me demande de m'asseoir sur le rebord (la table est arrivée à hauteur du buste du médecin, oups c'est haut). Je suis engourdie, la tête me fait un peu mal, les cervicales surtout. Je me glisse en essayant de ne pas trop remonter ma tunique (qui est longue heureusement). Je pose les pieds en contrebas. Assise. Ne plus bouger, le test reprend.
Enfin au bout de quelques minutes, c'est fini ! Je dois redescendre (purée, c'est haut). Et là, je dois me laisser tomber (argh, ça fait mal). Vite, vite (même un escargot m'aurait doublé) me rhabiller !
Je ressors, on me donne des radios.
Je dois attendre le médecin pour les explications.
Je ne me souviens que du fait qu'elle (cette fois c'est une femme) me dit que :
- "C'est bien fracturé" (ah bah après un mois de convalescence, des radios… je m'en serais doutée, surtout que je dérouillais depuis la radio de la veille).
- "Il vous faut du repos" (argh, elle va pas me dire que je ne peut pas aller bosser… ah non).
- "Vous devriez mettre des semelles épaisses, des chaussures de sport à grosses semelles…" (pouah, ces horreurs à étages !)
Bon je ressort enfin… prochain examen en début de semaine prochaine. C'est marrant, à part une petite sensation de migraine… ça va ! Il est déjà 11h45.
L'aprem… je me sent pas trop bien d'un coup (je n'avais pas trop faim, j'ai peu mangé salade de carottes/alfafa), la tête me fait toujours un peu mal, l'estomac barbouillé… les crampes d'estomac et un petit malaise dû à la fatigue (2 examens radios en 2 jours). Ce samedi, je n'étais pas trop en forme, petit malaise cet aprem. Les effets de l'injection se dissipent peu à peu… (le médecin me disait qu'on était radioactif durant 24h).
Voici donc comment se passe une scintigraphie. A la limite, c'était plus long que la densitométrie de la veille et plus lourd aussi mais j'ai préféré l'ambiance détendue et l'humanité des médecins très cordiaux.
Alfafa